Ok, on refait Bambi, mais sans la scène de la mort de la mère ... qui est pourtant au coeur de l'intrigue ...
Alors ... voyons voir ...
Sauf erreur, dans le DA de Disney, on entend un coup de feu, on comprend ce qu'il se passe, mais on ne voit rien ...
Là, sous prétexte de "protéger les jeunes enfants", on voudrait retirer cette scène ?
Mais bordel ... c'est pourtant la réalité des choses : y'a des chasseurs, et ils tuent des animaux ...
Si vous voulez ne pas heurter les "plus jeunes", ben ... mettez un "interdit aux -12 ans" et c'est tout ...
Le monde devient complètement fou, à vouloir trop protéger tout le monde de tout, et surtout de n'importe quoi ...
J'étais tombé un jour, sur un article sur les claviers virtuels des banques pour le PIN à saisir.
Le mec avait décortiqué le code HTML et montré que, quel que soit l'emplacement des chiffres, au final on pouvoit savoir quel chiffre avait été cliqué.
Y'avait des extraits d'HTML pour montrer tout le truc.
Mais je ne retrouve pas l'article.
Si quelqu'un voit de quoi je parle, je suis prenneur, merci d'avance.
Dans le post de l'annonce, LVH se contente d'indiquer l'info, et d'expliquer ce qu'est la supraconductivité et ce que ça pourrait apporter, rien d'autre.
Et sa dernière phrase est :
"Bref, une telle invention serait une révolution dans le domaine de l’énergie… à condition que ça soit industrialisable (et avéré)."
OK, il n'a pas debunké l'information. Et alors ? Ça n'était pas son but.
Et une fois l'info de debunk sortie, il l'a publiée aussi.
Durant le temps écoulé depuis le big bang, l'univers a "grandi".
Donc la lumière émise depuis "l'opposé" de l'univers a dû parcourir plus de distance pour nous parvenir que si l'univers n'avais pas bougé durant ce laps de temps.
(après, c'est en très gros, parce que parler de point "opposé" dans l'univers n'a aucun sens ...)
Déjà, être condamnable simplement parce qu'on aime quelqu'un, c'est déjà immonde.
Mais être passible de la peine de mort ...
Rien que la peine de mort c'est déjà absurde.
Mais condamné à mourrir parce qu'on aime, le monde est fou